Deux utilisations, et le fil qui s'en va...
Là on voit mieux les fils "souples".
Il est joli non ?
Robe avant repassage, on admire la coupe en passant !
Ekyog a donc bien une veille internet, c'est bien, mais peut-être il faudrait veiller en amont à la qualité de leurs produits. Car oui, vous faites de jolis produits, bien taillés, bien coupés, originaux.
Mais que sur 3 produits (le boléro va bien lui !) 2 soient défecteux, c'est plus que symptomatique d'une dérive.
Quand j'achète un produit artisanal, lorsqu'il y a un défaut je suis plus conciliante on va dire, quoique souvent ce sont les petites boutiques qui veillent le plus à leurs finitions, à la qualité de leurs produits, à la satisfaction de leurs clients.
Faire de "l'équitable" n'excuse pas tout. Loin de là.
L'équitable est un moyen de redistribuer les richesses, de donner un salaire décent aux artisans, aux ouvriers, au lieu de les presser comme des citrons comme peuvent le faire les grandes chaînes de vêtements.
Seulement la qualité est symptomatique du temps que passent les ouvriers sur un vêtement. Quand on coud soi-même on voit à quel point les coutures sont solides, comme on peut bien fixer les boutons, les pressions.
J'ai du mal à comprendre comment peut-être conciliable l'équitable avec des vêtements sur lesquels des ouvriers travaillent à la chaîne ?
L'équitable se doit de proposer aussi bien des produits solides, preuve que les tailleurs ont pris leur temps, et travaillé dans de bonnes conditions, autant par respect pour les fourmis à la base de leur entreprise, que pour les consommateurs.
Parce que si on achète de l'équitable, c'est aussi parce que l'on achète peu de vêtements et que l'on a envie qu'ils durent.... pas d'en racheter l'année d'après, qui est un non-sens écologique et économique pur.
Alors certes vous n'êtes pas les seuls, et cette dérive de "l'équitable" va avec celle du "bio" que l'on trouve en supermarché, avec des produits dénaturés, pour l'attrait du "bio" "naturel" "aux plantes".
Merci de répondre ici, s'il vous plaît. J'aimerai vraiment croire que "tout ça" n'est pas que du vent.